Ferme Urbaine plaine Montjean
Logements, cité artisanale, bureaux, commerces, sont la limite du construit et dialoguent avec la nature. Cette lisière construit la limite de la ville. Une architecture végétale se connecte avec cette muraille donnant sur la rue connectée avec tous les réseaux urbains.
Logements, magasins, cafés restaurants places et placettes en sont la limite du minéral. Il faut inventer cette fi n de la ville, une architecture qualitative audacieuse en requalifiant les bordures de la plaine. Les logements profitant d’une vue sur la plaine seront de grande qualité. Le souterrain, l’infrastructure abritant véhicule, locaux techniques/stockage, va progressivement s’enterrer et retrouver la fraîcheur naturelle de la terre pour servir de stockage à la production agricole des légumes d’hivers et des fruits.
En surface, parfois connectées directement aux immeubles, parfois distantes, les serres maraîchères sont les dernières constructions avant l’espace naturel. Une relation particulière doit s’installer entre le construit cartésien, orthonormé, la façade rue et la façade champs. Nous sommes à la limite de ce qui constitue la ville, la fenêtre sur la campagne.